Dans un contexte de transition écologique, les entreprises sont de plus en plus conscientes de leur impact environnemental et de la nécessité d’agir pour le réduire. Au cœur de cette démarche, le bilan carbone entreprise s’impose comme un outil indispensable, pour prendre la mesure de son empreinte. Il est aussi un excellent vecteur pour trouver des solutions viables et diminuer significativement ses émissions de gaz à effet de serre. Spécialiste de l’immobilier d’entreprise, Geolocaux saura particulièrement vous conseiller au sujet de l’intérêt de réfléchir à la localisation de votre location de bureau pour agir positivement. Mais comment procéder ? Quelles sont les méthodes pour le dresser et s’applique-t-il de la même manière à toutes les organisations ? Voici toutes les clés pour maîtriser le cadre de cette étude déterminante et la mener à bien.
Pourquoi et comment faire le bilan carbone de son entreprise ?
Le bilan carbone entreprise n’est plus une simple option, mais une nécessité stratégique et réglementaire pour les sociétés.
Définition du bilan carbone : de quoi parle-t-on concrètement ?
Le bilan carbone est une étude qui permet d’évaluer la quantité de gaz à effet de serre (GES), émise directement ou indirectement par les activités d’une entreprise. Pour le qualifier, on parle aussi de bilan GES, d’empreinte carbone entreprise ou encore de calcul du bilan carbone.
Il constitue le point de départ de toute stratégie climat, en fournissant un diagnostic quantifié des émissions, permettant de définir des axes d’amélioration et des solutions pour les réduire significativement.
Pourquoi réaliser un bilan carbone quand on est une entreprise ?
Mener un calcul de bilan carbone s’inscrit dans une démarche de préservation de l’environnement et de lutte contre le réchauffement climatique. Il permet de comprendre l’impact de son entreprise, d’identifier ses principaux postes d’émissions, puis de définir une méthodologie de réduction des GES, en participant à la transition énergétique par exemple.
Les obligations réglementaires en vigueur en 2025
En France, la loi impose depuis 2012, aux entreprises de plus de 500 salariés (ou 250 dans les DOM), la mise en œuvre d’un bilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES) à reconduire tous les 4 ans. Avec l’entrée en vigueur progressive en Europe de la directive CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive), les obligations de reporting s’étendent désormais aux entreprises et établissements publics de plus de 250 salariés.
Comprendre les scopes 1, 2 et 3 des émissions
Plusieurs méthodes de calcul existent, mais chacune intègre la prise en compte de trois scopes, divisés en sous-catégories :
- Scope 1 : les émissions directes. Il s’agit des émissions de gaz à effet de serre issues des sources contrôlées par l’entreprise (combustion de carburant par les véhicules de l’entreprise ou les installations fixe…).
- Scope 2 : les émissions indirectes liées à l’énergie. Ces émissions proviennent de la production d’électricité, de chaleur ou de vapeur achetée et consommée par l’entreprise.
- Scope 3 : les autres émissions indirectes. Il concerne toutes les autres émissions non incluses dans les scopes 1 et 2, mais liées à l’activité de l’entreprise, en amont et en aval de sa chaîne de valeur (achat de biens et services, déplacements domicile-travail des salariés, transport de marchandises, utilisation et fin de vie des produits vendus…).
Selon l’ADEME, 62 % des émissions d’une entreprise proviennent de son scope 3.
Cette donnée met en lumière l’importance capitale de l’inclure dans tout calcul bilan carbone complet.
Quelles sont les principales méthodes pour calculer l’empreinte carbone d’une entreprise ?
Différents procédés officiels existent pour réaliser un bilan carbone entreprise.
La méthode Bilan Carbone® de l’ADEME
La méthode Bilan Carbone® développée et encadrée par l’ADEME (Agence de la transition écologique) constitue la référence française pour le calcul de l’empreinte carbone entreprise. Cette méthodologie structurée propose une approche complète et standardisée, pour quantifier les émissions de gaz à effet de serre d’une organisation. Elle permet aux entreprises de toutes tailles de mesurer leurs émissions de gaz à effet de serre, en prenant en compte les scopes 1, 2 et 3. Elle est reconnue pour sa vision globale et rigoureuse, ainsi que pour son objectif orienté vers l’aboutissement d’un plan d’action de réduction des émissions.
Le GHG Protocol : un standard international
Le Greenhouse Gas Protocol (GHG Protocol) est un standard international de comptabilisation et de reporting des émissions de gaz à effet de serre. C’est lui qui a popularisé la distinction entre les scopes 1, 2 et 3, désormais universellement validée dans le domaine du carbone. Largement adopté, il offre un cadre flexible, selon les secteurs d’activités, et robuste pour la réalisation du bilan carbone.
Le calculateur ACT Pas-à-Pas pour les TPE/PME
Le calculateur ACT (Assessing Low Carbon Transition) Pas-à-Pas, développé par l’ADEME en partenariat avec Bpifrance, répond spécifiquement aux besoins des TPE et des PME qui souhaitent réaliser leur premier bilan carbone. Cet outil gratuit, adapté aux petites structures, se caractérise par sa simplicité d’utilisation et sa capacité à fournir des résultats rapidement exploitables. Il propose un questionnaire ordonné, guidant les entreprises dans la collecte des données nécessaires, en se concentrant sur les postes d’émissions les plus significatifs pour leur secteur d’activité.
S’il est un excellent point de départ pour une entreprise qui débute sa stratégie climat, il ne remplace pas une étude complète, mais offre une première approche pour le calcul bilan carbone et le diag Decarbon’Action.
Comparatif des méthodes existantes
| Critère | Méthode Bilan Carbone® (ADEME) | GHG Protocol | Calculateur ACT Pas-à-Pas (ADEME) |
| Public cible | Toutes entreprises et collectivités | Toutes entreprises | TPE/PME |
| Niveau de détail | Très détaillé, couvre tous les scopes | Détaillé, cadre de référence pour les scopes | Simplifié, pour une première estimation |
| Complexité | Élevée | Élevée | Faible |
Il existe également des outils numériques gratuits et payants pour démarrer un bilan carbone, y compris pour les petites structures (Carbon Cockpit Scan, GoodPlanet, EcoTree, MyClimate, HelloCarbo…).
Quelles étapes pour réussir son bilan carbone en entreprise ?
La réalisation d’un bilan carbone est un projet coordonné, qui se déroule en plusieurs phases clés, garantissant la fiabilité des résultats.
Identifier les périmètres organisationnels et opérationnels
La réussite d’un bilan carbone entreprise repose sur la définition précise des périmètres d’étude. Cette étape fondamentale détermine quelles structures, activités et émissions seront incluses dans le calcul de l’empreinte carbone.
Le périmètre organisationnel définit les entités prises en compte dans le calcul. Il peut s’agir de l’entreprise dans son ensemble, d’une filiale spécifique ou d’un site de production par exemple.
Le périmètre opérationnel détermine les activités et sources intégrées calcul. Il s’articule autour des trois scopes d’émissions GES et doit être adapté aux spécificités de l’entreprise et de son secteur d’activité.
Un troisième élément, le périmètre temporel, précise la période de référence du bilan carbone entreprise, généralement une année civile ou un exercice comptable.
Collecter les données d’activité
La collecte des données d’activité constitue l’étape la plus chronophage du processus de réalisation d’un bilan carbone entreprise. Cette phase nécessite une mobilisation importante des équipes et une coordination efficace entre les différents services. Parmi les éléments à relever :
- Les données énergétiques représentent les consommations d’électricité, de gaz et de toutes autres sources d’énergie utilisées par l’entreprise.
- Les données de transport incluent les déplacements professionnels, l’étude des trajets domicile-travail des salariés et le fret de marchandises.
- Les données d’achats englobent l’ensemble des biens et services acquis par l’entreprise.
Ces données peuvent provenir de factures, de relevés de compteurs, de logiciels de gestion, d’enquêtes auprès des salariés et des fournisseurs. La qualité des informations collectées conditionne directement la fiabilité du bilan carbone entreprise. Il est donc essentiel de mettre en place des procédures de vérification et de validation des renseignements strictes, afin de garantir l’exactitude des résultats.
Convertir les données en émissions, grâce aux facteurs d’émission
« Mesurer, c’est savoir. Sans mesures, pas d’amélioration possible. » – William Thomson (Lord Kelvin)
La conversion des données d’activité en émissions de gaz à effet de serre s’effectue par l’application de facteurs d’émission. Il s’agit de coefficients permettant de traduire une unité d’activité (kWh consommé, kilomètre parcouru, euro d’achat…) en équivalent CO2. En France, la Base Carbone® de l’ADEME constitue la référence nationale et fait l’objet d’une mise à jour régulière.
Ces facteurs d’émission sont généralement exprimés en kg CO2e par unité (ex : kg CO2e/kWh, kg CO2e/km). Par exemple, une entreprise consommant 10 000 kWh d’électricité sur une année, appliquant le facteur d’émission moyen de l’électricité en France (0,05 kg CO2e/kWh – chiffre indicatif), obtiendra le calcul et le résultat suivants : 10 000 * 0,05 = 500 kg CO2e.
Analyser les postes les plus émetteurs
Une fois toutes les données converties en émissions, le bilan carbone prend tout son sens. Il est alors possible d’identifier les principaux postes contributeurs aux émissions totales. Cette analyse est cruciale pour cibler et hiérarchiser les actions de réduction les plus pertinentes. L’analyse par scope révèle la répartition des émissions entre les différentes catégories et permet de détecter les périmètres prioritaires, afin de concentrer les efforts sur les postes déterminants.
Construire un plan d’action adapté à votre secteur
Dresser le bilan carbone d’une entreprise n’est pas une fin en soi. C’est la construction d’un plan d’action qui constitue un véritable aboutissement. Il doit être spécifique à l’entreprise, à son secteur d’activité, à ses ressources et à ses contraintes, et doit traduire les résultats de l’analyse en décisions concrètes et mesurables.
Les objectifs de réduction des émissions GES doivent être quantifiables et réalistes, en s’appuyant sur le potentiel de diminution des émissions, le coût de leur mise en œuvre, leur faisabilité technique et leur impact sur la vie de l’entreprise. Ils reposent sur trois axes d’action : éviter (supprimer ou réduire l’activité émettrice), améliorer (l’efficacité énergétique) et substituer (s’orienter vers des alternatives moins carbonées).
Quelles actions concrètes mettre en place après un bilan carbone ?
Après avoir mesuré l’empreinte carbone entreprise, place à la mise en œuvre du plan d’action de réduction des émissions.
Bon à savoir : certaines aides régionales permettent de financer un diag Decarbon’Action pour les PME.
Réduire les déplacements professionnels
Les transports et les déplacements professionnels représentent souvent une part importante de l’empreinte carbone, particulièrement pour les entreprises de services ou détenant plusieurs sites. La réduction de ces émissions constitue généralement un levier d’action prioritaire, les entreprises ayant un contrôle direct sur ces activités. Pour procéder positivement, il convient de sensibiliser les salariés aux solutions de mobilité alternatives (transports en commun, vélo, covoiturage…) et de les aider à les adopter, afin de les impliquer dans les actions définies par le bilan carbone entreprise. Il est aussi possible d’opérer un développement du télétravail et des réunions à distance, pour limiter les déplacements, ou d’optimiser la flotte de véhicules.
Optimiser la consommation d’énergie des locaux
L’optimisation énergétique des bâtiments constitue un levier majeur de réduction des émissions. Cette démarche combine généralement des investissements techniques et des changements comportementaux, pour maximiser les économies d’énergie et les réductions d’émissions. Perfectionner l’isolation des bâtiments, choisir un contrat d’énergie verte, installer des panneaux photovoltaïques ou mettre en place un pilotage énergétique et des équipements moins énergivores sont des actions à mener pour améliorer la consommation de l’entreprise.
Réaliser une transition vers des fournisseurs plus durables
L’analyse du scope 3 est intéressante pour intégrer des critères d’éco responsabilité dans les achats. Le panel d’actions à entreprendre est large : choix de fournisseurs locaux au bilan carbone bas, réduction des déchets, mise en place d’une politique de recyclage… Cette démarche nécessite une approche rigoureuse, pour évaluer et sélectionner les partenaires commerciaux selon des critères environnementaux. Cet examen permet d’identifier les fournisseurs les plus performants sur le plan carbone et de structurer une stratégie d’approvisionnement responsable.
Engager les équipes dans une démarche bas carbone
La mobilisation des salariés est indispensable à la réussite d’une stratégie de réduction des émissions GES, dans le cadre d’un bilan carbone entreprise. La sensibilisation des salariés aux enjeux environnementaux des déplacements professionnels, de la gestion des déchets et de la consommation d’énergie, contribue à l’adoption de comportements plus responsables. Cette démarche peut s’accompagner de la mise en place d’outils de calcul d’empreinte carbone des déplacements, permettant aux collaborateurs de mesurer l’impact de leurs choix de transport par exemple.
Comment le lieu d’implantation impacte le bilan carbone d’une entreprise ?
Le choix de l’emplacement des locaux a une influence non négligeable sur son empreinte carbone. Il s’agit d’un facteur stratégique à prendre en considération, pour une stratégie climat pérenne.
Accès aux transports doux et réseaux ferroviaires
L’accessibilité des transports en commun et des infrastructures de mobilité douce pèse fortement sur l’empreinte carbone. Les entreprises implantées dans des zones bien où les transports publics sont nombreux bénéficient généralement d’émissions plus faibles, liées aux déplacements de leurs salariés et de leurs visiteurs. Un site bien desservi par les transports en commun (train, bus, tramway, métro) et les pistes cyclables permet de diminuer significativement les émissions de GES.
Type de bâtiment et performance énergétique
Les caractéristiques techniques du bâtiment occupé par l’entreprise influencent directement sa consommation énergétique et donc son empreinte carbone. La conception et l’état des locaux ont un impact sur le bilan BEGES de l’entreprise. D’après l’ADEME, un bâtiment performant permet de réduire jusqu’à 30 % les émissions de chauffage. Les bâtiments neufs étant soumis aux normes environnementales RE 2020, ils sont les plus à même de délivrer de bons résultats.
Mix énergétique local et potentiel d’approvisionnement en énergie verte
Les entreprises établies dans des régions à fort potentiel renouvelable bénéficient généralement d’un mix énergétique plus décarboné du réseau électrique local. Les possibilités d’approvisionnement en énergie verte varient selon la localisation géographique. Les entreprises situées dans des zones ventées peuvent bénéficier de l’énergie éolienne, tandis que celles implantées dans des régions ensoleillées peuvent valoriser l’énergie solaire.
Distance par rapport aux clients et fournisseurs
Les émissions indirectes, engendrées par le transport des marchandises et la logistique requise, ont un rôle important dans la production de GES. Miser sur une proximité géographique pour réduire les trajets entre l’entreprise, ses fournisseurs et le consommateur final est un axe décisif à travailler pour réduire les émissions.
Géolocalisation et immobilier d’entreprise : comment Geolocaux vous accompagne dans votre stratégie bas carbone
Chez Geolocaux, nous avons pleinement conscience de l’importance du bilan carbone et de la stratégie climat dans le choix de vos locaux professionnels sur le marché de l’immobilier d’entreprise.
Trouver des bureaux proches des transports en commun
Les outils de recherche avancés, que nous mettons à votre disposition, vous permettent de filtrer les annonces de bureaux, d’entrepôts ou de commerces en fonction de leur proximité avec les gares, arrêts de bus, tramways ou stations de métro.
Identifier des locaux avec des labels énergétiques performants
Nous mettons en avant les annonces de biens immobiliers bénéficiant de labels environnementaux, attestant des performances énergétiques des bâtiments, de leur niveau d’isolation et de la qualité de leurs équipements. Cette certification est un critère de choix dont vous profitez pour trier efficacement les annonces.
Comparer les zones géographiques selon leur impact environnemental
La carte interactive vous permet de visualiser géographiquement tous les biens à vendre et à louer de votre zone de recherche, que vous avez filtrés au préalable selon leur certification environnementale.
Faciliter l’engagement de votre entreprise dans la transition écologique
Geolocaux vous aide à atteindre vos objectifs environnementaux, en vous proposant un service approfondi en mobilité, afin d’optimiser les déplacements de vos collaborateurs. Étude du temps de trajet domicile-travail de vos salariés, mesure de l’impact de votre déménagement, recherche de l’implantation idéale, nos experts vous accompagnent dans votre démarche, avec la solution Mes Employés.
Questions fréquentes sur le bilan carbone en entreprise
Comment calculer le bilan carbone d’une entreprise ?
Le calcul bilan carbone d’une entreprise demande de définir le périmètre d’étude, de collecter les données d’activité par le biais des trois scopes officiels et de les convertir en quantités de CO2e. Viennent ensuite l’analyse des résultats obtenus et l’élaboration d’un plan d’action viable. Des outils comme la méthode Bilan Carbone® de l’ADEME ou le GHG Protocol encadrent cette démarche.
Le bilan carbone est-il obligatoire pour toutes les entreprises ?
Non, le bilan carbone (BEGES) n’est pas obligatoire pour toutes les entreprises. En France, il concerne principalement les entreprises de plus de 500 salariés (ou 250 dans les DOM) et les établissements publics de plus de 250 agents. Cependant, la directive européenne CSRD va progressivement étendre cette obligation à un plus grand nombre d’entreprises, y compris les PME cotées.
Quelles données collecter pour faire un bilan carbone entreprise ?
Pour la réalisation d’un bilan carbone entreprise, les données essentielles à collecter concernent la consommation d’énergie et de carburants, les déplacements, les achats, les déchets et le fret. La qualité et l’exhaustivité de ces données sont cruciales pour un calcul bilan carbone précis.
Quel est l’intérêt du bilan carbone pour une PME ?
Même si le bilan carbone n’est pas encore obligatoire pour toutes les PME, il le sera prochainement, au regard du déploiement de la directive CSRD. Par ailleurs, il présente un intérêt majeur. Son calcul délivre des informations décisives pour maîtriser l’impact des émissions de l’entreprise et identifier les leviers d’action. Il est aussi garant d’économies financières, par la mise en œuvre de procédés de réduction de la consommation d’énergie et des déchets. C’est enfin un excellent baromètre de la responsabilité de l’entreprise, pouvant jouer sur son attractivité et sa compétitivité.
En combien de temps peut-on réaliser un bilan carbone estimatif ?
La durée de la réalisation d’un bilan carbone dépend de la taille de l’entreprise, de la complexité de ses activités et de la disponibilité des données. Une analyse approfondie peut prendre plusieurs semaines à plusieurs mois, surtout si l’accompagnement d’un expert est nécessaire. Cependant, pour un bilan carbone estimatif, notamment pour les TPE/PME, des outils simplifiés permettent d’obtenir une première approche en quelques jours, voire en quelques heures.
Sources officielles :
https://www.economie.gouv.fr/cedef/fiches-pratiques/comment-etablir-le-bilan-carbone-dune-entreprise
https://bilans-ges.ademe.fr/
https://diag.bpifrance.fr/diag-decarbon-action
https://librairie.ademe.fr/
